Trifluvien qui grâce à un travail de recherche acharné a fait revivre l'histoire de l'aéroport du Cap-de-la-Madeleine en offrant un mini-musée dans les locaux mêmes de la municipalité de Trois-Rivières. Aujourd'hui, grâce à l'initiative d’Alain, les citoyens de Trois-Rivières qui se présentent à leur Centre de services (situé au 200, rue de Grandmont) sont en mesure de revivre l'ambiance de cette époque où est gravée l'un des chapitres les plus important de l'histoire du Cap-de-la-Madeleine et de la grande région de Trois-Rivières. L’aérodrome de Cap-de-la-Madeleine avait été créé en 1928 sur le site aujourd’hui occupé par l’Académie les Estacades. Puis, en vertu de la Loi sur les mesures de guerre, il fut réquisitionné par le gouvernement fédéral en 1940 dans le contexte de la Deuxième Guerre mondiale. Une école d’aviation y a été installée, formant quelque 2500 pilotes des pays du Commonwealth. L’école élémentaire de pilotage cessa ses activités en février 1944. Plusieurs bâtiments faisaient partie du complexe de l’aéroport, dont des hangars et des édifices servant d’hôpital ou de magasin. L’aéroport a connu un certain déclin jusqu’à ce que son site soit reconverti en parc industriel. Le dernier bâtiment restant de la période de l’aéroport abritait un garage municipal depuis 1960. Un incendie le détruisit en juillet 2006. La Ville de Trois-Rivières a reconstruit un Centre de services aux citoyens à proximité, rue de Grandmont. Coordonnateur à l’atelier mécanique de la Ville de Trois- Rivières, Alain Fournier a tenu à ce que soit préservée et valorisée la mémoire de l’aéroport et de l’école de pilotage du Cap-de-la-Madeleine. Un mini-musée est donc aménagé dans le hall de l’édifice municipal, inauguré en septembre 2008.
Honneurs et distinctions
Prix Hommage du Panthéon de la Fondation Aérovision Québec 2016
Je me nomme Mario Bergeron, romancier, vivant à Cap-de-la-Madeleine. Dans le cadre de la création d’un roman, il y a un chapitre se déroulant au cours de la seconde guerre mondiale, à l’école d’aviation de l’armée canadienne, à l’aéroport du Cap.
Je cherche deux renseignements que je n’ai pu trouver et je suis certain qu’il y a une personne de votre organisme pouvant m’aider.
Combien y avait-il de femmes mécaniciennes ?
Est-ce que l’école était ouverte aux civils ne faisant pas partie de l’armée, désireux de suivre le cours et de se joindre à l’armée?
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Je me nomme Mario Bergeron, romancier, vivant à Cap-de-la-Madeleine. Dans le cadre de la création d’un roman, il y a un chapitre se déroulant au cours de la seconde guerre mondiale, à l’école d’aviation de l’armée canadienne, à l’aéroport du Cap.
Je cherche deux renseignements que je n’ai pu trouver et je suis certain qu’il y a une personne de votre organisme pouvant m’aider.
Combien y avait-il de femmes mécaniciennes ?
Est-ce que l’école était ouverte aux civils ne faisant pas partie de l’armée, désireux de suivre le cours et de se joindre à l’armée?
Je vous remercie.
Mario Bergeron
819 376-6763